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SANS VOIX SANS DROITS (SVSD) - CONGO (Kinshasa et Brazzaville) pour les droits de l'Homme Congolais
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SANS VOIX SANS DROITS (SVSD) - CONGO (Kinshasa et Brazzaville) pour les droits de l'Homme Congolais
  • SANS VOIX- SANS DROITS (SVSD), Organisation Non Gouvernementale de défense des droits de l’homme de Congolais (Kinshasa et Brazzaville).- Hebdomadaire d’actualités congolaises en ligne publié par Jean-Baptiste YVES MUMVUDI et édité par YM.
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26 juillet 2014

RDCongo : Joseph Kabila - Qui a réellement tué Laurent Désiré KABILA ?

Nous Re publions aujourd'hui cet article sur notre blog. Il a été publié en 2007 par nos confrères de Congo Indépendant.

 

« Pour l’Amour de la R. D. Congo, je ne me tairai point… »

 


                                         R. D. Congo : Joseph KABILA qui a tué réellement Laurent Désiré Kabila ? Dites le moi et je ne parlerai plus…

                                                                                        Par Jean Baptiste MUMVUDI PIKHASSO

INTRODUCTION

Ce document qui rejoint des nombreuses hypothèses sur la mort de M’Zée Laurent Désiré Kabila (LDK) ne doit pas être pris comme une révélation. C’est une contribution d’un Congolais aux Congolais et pour les Congolais qui voudront, un jour, écrire l’histoire de notre pays sur l’assassinat de Laurent Désiré Kabila (LDK), ex-Président de la R.D.Congo – (17.05.1997 au 16.01.2001).

Le 16 janvier 2001, le Président Laurent Désiré KABILA est abattu lâchement dans sa résidence officielle sise Palais de Marbre, avenue Nguma, Ma Campagne, commune de Ngaliema par, dit-on, un de ses gardes du corps, le kadogo « enfant soldat » Rachidi MIZELE KASEREKA.

Le procès de 135 personnes accusées d’être liées à cet assassinat a été ouvert Vendredi 15 mars 2002 au Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK, ex Prison Centrale de Makala). La majorité des accusés sont des militaires inculpés « d’atteinte à la sûreté d’Etat, d’assassinat et de complicité d’assassinat » et sont jugés par la Cour d’Ordre Militaire (COM).

Le 07 janvier 2003, au terme d’un procès de neuf mois, la Cour d’Ordre Militaire avait prononcé 30 condamnations à mort à l’encontre de personnes impliquées dans l’assassinat de M’Zée KABILA 1er, tout en annonçant que des enquêtes se poursuivaient. Ils étaient condamnés pour « attentat, tentative de coup d’état, complot, association de malfaiteurs, disparition d’armes de guerre, abandon de poste, trahison ».

Dans la perspective de la défunte Cour d’Ordre Militaire de poursuivre les enquêtes « pour que toute la lumière soit faite afin que les vrais commanditaires soient punis », j’ai voulu dans ce document ouvrir des pistes pour permettre à chacun de se faire une idée parce que ce fameux « procès a été une parodie de justice qui visait l’élimination des prévenus considérés par le pouvoir comme des témoins gênants », soutient Chebeya de VSV. Et il ajouta que le pays court « les risques de déstabilisation politique tant que ce procès va demeurer injuste et inéquitable ».

Mais pourquoi ce sujet n’a jamais été clos après la condamnation de Monsieur Eddy Kapend et ses amis par la Cour d’Ordre Militaire du Colonel Charles ALAMBA MUNGAKO et du Général Camille NAWELE ?

Toutes ces interrogations que suscitent la mort et le procès L D. K. quant aux vrais mobiles et à l’identité des assassins et commanditaires de cette mort indigne, devraient interpeller la communauté internationale et le pouvoir congolais en place. Malheureusement, celui qui cherche à « creuser » la vérité sur ce procès et surtout sur cet assassinat est poursuivi, arrêté, torturé, abattu par les militaires du Gouvernement de soi-disant son « propre fils » Joseph KABILA, sous le silence et l’indifférence de la communauté internationale.

Alors que faire ? Faut-il se taire ? Faut – il réellement avoir peur de chercher et de dire la vérité sur l’assassinat d’un chef de l’Etat en exercice et dans un pays dit démocratique ? Faut-il négliger l’histoire ? « Faut-il attendre encore quarante ans pour nous voir raconter la vraie histoire de l’assassinat de KABILA Père, par des étrangers » ? Comme fut le cas de Patrice Emery LUMUMBA ?

J’ai décidé d’ouvrir ce vaste chantier d’interrogation, cette boite à questions sans pour autant apporter des éléments de réponses sur l’assassinat de KABILA 1er

« On ne peut pas tromper tout un peuple tout le temps

1. Joseph KABILA ou KABILA II

A l’époque de l’assassinat de Laurent Désiré KABILA, l’actuel président de la république Joseph KABILA était chef d’état major des forces armées congolaises. Avant cela, selon notre source, il avait été emprisonné à plusieurs reprises par Laurent Désiré Kabila, pour des raisons diverses. A l’une des occasions, il était même soupçonné de fomenter un coup d’état contre son soi-disant père.

Lors de ces différents emprisonnements, les témoins racontent que ce dernier jurait de « prendre sa revanche ». Laquelle ? Pour quelle raison ? Est-ce vrai que la revanche a été prise ?

Selon notre source, Joseph KABILA avait attenté à la vie de L. D. Kabila dans la nuit du 06 au 07 Septembre 2000, au Camp militaire Colonel Tshatshi à Kinshasa Ngaliema. Grâce à l’intervention des militaires du 8eme Bataillon des FAC qui assuraient la permanence de nuit, Kabila 1er avait eu la vie sauve.

Mécontent d’avoir raté son coup, souligne notre source, Kabila II avait ordonné l’arrestation du Major Jacques Kele, commandant du 8eme Bataillon ainsi qu’une vingtaine des militaires. Est-ce qu’ils sont toujours au C.P.R.K (ex-prison Makala) sans jugement ni même connaître les raisons exactes de leur arrestation et détention prolongée.

Vendredi 12 janvier 2001, en séjour à Lubumbashi, au Katanga, en partance pour le Cameroun afin de participer au sommet de la Francophonie, Joseph Kabila a réussi à convaincre KABILA 1er de ne pas se rendre à ce sommet et de retourner à Kinshasa sous prétexte que le temps était mauvais.

L’on se souviendra qu’à la veille de l’assassinat de KABILA 1er, le lundi 15 janvier 2001, tous les Militaires de FAC résidant à Kinshasa, avaient été désarmés sur ordre du Chef d’Etat Major et Commandant de Force terrestre, le général major KABILA II. Dans la même soirée, selon notre source, et après s’être assuré du bon déroulement de l’opération, joseph Kabila (KABILA II) se déplaça pour Lubumbashi.

Si réellement le temps était mauvais mais pourquoi le Chef d’Etat Major et Commandant de Force Terrestre avait abandonné son poste le soir du 15 janvier 2001 ? Pourquoi et pour quelle raison, il avait ordonné ce désarmement ? KABILA 1er n’était pas au courant du désarmement de l’Armée le soir du 15 janvier ?

Où étaient les services des renseignements militaires congolais, le ministre de la défense et le ministre de l’intérieur congolais pour entrer en contact avec KABILA 1er dans l’esprit de comprendre le motif de ce désarmement ? L’aide de Camp – le chef d’état major particulier du président L.D. Kabila – Eddy KAPEND - n’était pas au courant ?

Comment justifier ce désarmement en pleine guerre qui a déstabilisé la RD Congo ? Monsieur Georges LETA MANGASA, ancien patron de la sécurité nationale et Monsieur NONO LUTULA, conseiller spécial en matière de sécurité du président défunt n’étaient pas au courant ?

Pourquoi la famille politique de Joseph KABILA s’est toujours opposée à une révision du procès et à toute libération des condamnés ? Pourquoi Jeannette Kabila s’était opposé, s’était mise en colère et promit de poursuivre en justice quiconque oserait réaliser un film autobiographique sur la vie de Laurent Désiré Kabila ?

La question que d’aucuns se posent : Si Joseph KABILA est réellement le fils biologique de Laurent Désiré KABILA et innocent, pourquoi il n’a pas voulu un procès public et équitable ? Pourquoi ne pas permettre aux Congolais de connaître la vérité sur la mort de KABILA 1er ?

2. LA PRESENCE ETRANGERE ?

Dans la journée du 16 janvier 2001, selon notre source, quatre sujets palestiniens munis des passeports libanais furent introduits au Palais de Marbre (La résidence officielle de KABILA 1er) par Monsieur Emile MOTA, conseiller en matières économiques de L. D. Kabila. Ils exécuteront KABILA 1er, qui mourut sur place. Et ils sont sortis comme ils sont entrés.

Emile MOTA était la seule personne à avoir vu vivant KABILA 1er du fait qu’il se trouvait seul à seul avec lui, dans son bureau, au moment des faits.

Qui étaient ces sujets palestiniens avec les passeports libanais ? Comment les étrangers peuvent entrer et sortir du palais présidentiel munis d’ armes ? Comment Emile MOTA a pu échapper aux balles du meurtrier alors qu’il était un témoin terriblement gênant ? Pourquoi il n’a pas pu défendre le président ? Mais pourquoi Rachidi Mizele est cité comme assassin de KABILA 1er ? Est-ce qu’il a réellement existé ? Qui a envoyé ces palestiniens pour assassiner KABILA 1er ? La sécurité présidentielle, le protocole d’Etat, le directeur du cabinet de KABILA 1er étaient au courant de l’arrivée de ces palestiniens ? Où était MOTA au moment de l’assassinat de KABILA 1er ? Comment il n’a pas pu demander aux gardes présidentielles d’arrêter directement ces palestiniens ?

Toujours selon notre source, le Général Chirundze, chef d’état major Zimbabwéen, présent au palais de marbre le 16/01/2001, le jour de l’assassinat, téléphona, après le forfait, au Président Robert MUGABE, lui parlant en ces termes : Le Baobab est tombé. Ensuite, il téléphona à Joseph KABILA retiré à Lubumbashi, et lui parlant en ces termes : tu peux maintenant rentrer, car tout est en ordre.

Ainsi par ordre de Robert MUGABE et de Joseph KABILA, le corps de L.D.KABILA a été acheminé à Harare (Zimbabwe) pour, selon notre source, se servir de ses empreintes digitales pour ouvrir un coffre-fort.

Qu’est ce que le Général Chirundze faisait à la résidence présidentielle ? Pourquoi il n’a pas pu demander la fouille de ces palestiniens avant de rencontrer M’Zée KABILA 1er ? Analyser les messages de ce Général pour comprendre quelque chose.

On se souviendra encore que Monsieur Louis Michel, Vice premier Ministre belge et Ministre des Affaires Etrangères, étant absent de Kinshasa, a été le premier à pouvoir annoncer et confirmer l’assassinat de M’Zee Laurent Désiré Kabila.

De la même source, les armes automatiques utilisées pour abattre M’Zee KABILA étaient de fabrication Belge…. Est-ce qu’il y a un lien avec les commanditaires ?

En effet, dit une autre source, avec l’affaire Patrice Emery Lumumba, la Belgique a démontré sa capacité à faire taire les congolais un peu trop « dérangeant » à ses yeux. Serait-elle passée outre cette compétence universelle contre le crime dont elle s’est fait le chantre aujourd’hui ?

3. Colonel Eddy KAPEND……. ?

Le Chef d’état-major particulier de l’ancien chef de l’Etat congolais L. D. Kabila, le colonel Eddy KAPEND, selon notre source, a ordonné lundi 15 janvier 2001, l’arrestation de Monsieur Ismaël TUTWEMOTO, directeur principal de l’Agence Nationale de Renseignement, direction extérieure (A.N.R / D.E.).

Monsieur Ismaël revenait d’une mission à l’étranger, il était porteur d’un message confidentiel du Président KABILA 1er que Mr X de France, lui avait envoyé. Dans lequel tout le plan en détail sur son assassinat, était révélé. Ainsi sur ordre du Colonel Eddy Kapend Irung, Monsieur Leta Mangasa, Administrateur Général en Chef de l’Agence Nationale de Renseignement mettra aux arrêts Monsieur Ismaël Tutwemoto, la veille du jour où il avait pris rendez vous avec le Président Kabila 1er pour lui remettre en main propre ce message. Monsieur Tutwemoto ne sera mis en liberté que deux mois après la mort du Président KABILA et sans aucune forme de procès.

Pourquoi Eddy KAPEND avait ordonné l’arrestation de Monsieur Tutwemoto lundi 15 janvier ? Qui est cet homme – Monsieur X de France - ? Quel a été le contenu réel de ce message ? Eddy Kapend était au courant de ce message ? Aujourd’hui Ismaël Tutwemoto est capable de nous dire la vérité sur sa rencontre avec Mr X ? Sur ce message dont il a été le porteur ? Sur son arrestation et sur sa libération ? Est-ce que Monsieur Tutwemoto avait mis le Chef d’Etat Major de l’Armée – KABILA II – au courant de ce message ? Et le Ministre de l’Intérieur ?

Où était Eddy Kapend à l’arrivée des palestiniens au palais de marbre ? Pourquoi Eddy Kapend s’était préoccupé de poursuivre Rashidi Kasereka, au lieu de protéger KABILA 1er ? Et de poursuivre les quatre palestiniens ? Où est passée l’arme du crime ? Qui a armé les palestiniens ? Pourquoi le(s) meurtier(s) n’a pas abattu aussi Emile MOTA qui était présent avec KABILA 1er ?

Pourquoi au lieu de se rendre à l’hôpital pour s’enquérir de la santé de son patron, il s’est plutôt précipité à la télévision nationale pour annoncer les mesures que seuls les auteurs de coup d’Etat annoncent dans ces genres de circonstances.

Rashidi était témoin gênant ou le vrai assassin de Laurent Désiré Kabila ? Si c’était lui qui l’a armé alors ?

Qu’est ce que Monsieur Eddy Kapend aurait dit au Pasteur Jean Paul MOKA, leader de la « mouvance bleue » sur l’assassinat de Laurent Désiré Kabila ? Où est le livre du pasteur Jean Paul MOKA « Qui dirigera le nouveau Congo ? ». Notre source confirme que les révélations de Kapend sont bouleversantes en détail et en clarté. Elles attestent sans ambages de la participation de KABILA II dans l’assassinat de KABILA 1er. S’agirait-il d’un règlement de compte ?

4. LA FAMILLE KABILA

Le peuple Congolais ne connaît pas grand-chose sur cette famille. Rien n’est clair comme ce fut le cas de l’assassinat de Kabila 1er. Je ne sais si c’est une caractéristique propre aux Kabila. Par contre, on connaissait quasi tout sur la famille du Maréchal Joseph Désiré Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu Wa Zabanga.

La dénonciation et l’apparition d’Etienne Taratibu Kabila qui se réclame fils aîné légitime et biologique de Feu M’Zée Kabila, sème toujours la panique – le doute – la confusion dans la tête des Congolais sur la vraie identité de Joseph Kabila.

Fils de Christopher Kanambe et de Madame Marcelline Katerebe Mukabuguje, l’actuel président, selon notre source, s’appelle réellement Joseph Hyppolite Kanambe. Dévoiler en public son identité Rwandaise mérite la mort. Les Congolais n’ont même pas droit de chercher et de savoir l’origine de cet homme qui le dirige. Tout est secret d’état…………

Mais qui a donné à Etienne Kabila tous les éléments décrits sur ces deux lettres ouvertes au peuple congolais ? Qui est sa mère ? Et qui est Madame Sifa Mahanya ? Où était Etienne Kabila, le jour de l’assassinat de son Père ?

Dans sa lettre ouverte aux Congolais, ce garçon – Etienne Kabila – demande la protection de ses Frères et Sœurs qui vivent sous les tortures, l’insécurité, les intimidations de la part des hommes armés de Joseph Kabila. Pourquoi Joseph Kabila devrait menacer sa propre famille ? Si telle était réellement sa famille….

Etienne Kabila poursuit dans sa lettre qu’il a été l’objet des menaces de mort et de chasse à l’homme de la part de Kabila II après avoir révéler la vérité sur les origines de l’actuel président et avec le concours des compatriotes épris de paix et de justice, il a réussi de sortir clandestinement de Kinshasa, jusqu’à atteindre la République Sud Africaine.

Comment comprendre l’attitude de l’actuel président vis-à-vis de « son frère ou son demi frère » Etienne Kabila ? Où est passé ce garçon ? Pourquoi il ne parle plus ?

Qui est le vrai héritier ? Joseph Kabila ou Etienne Kabila ? Est-ce q’une commission d’enquête a été mise pour inventorier tout les comptes et biens laissés par M’Zée KABILA 1er ? La vraie famille Kabila a été dédommagée du fait qu’il soit mort en exercice de ses fonctions ?

Alors, Qui a tué M’Zée Laurent Désiré Kabila (KABILA 1er) ?

C’est la question que d’aucuns se posent jusqu’aujourd’hui……Cet assassinat odieux a permis aux services des renseignements militaires congolais et à l’ancienne Cour d’Ordre Militaire d’arrêter, de tuer, de torturer, de faire la chasse aux innocents, de les accuser de complices imaginaires dans ce coup d’état.

Il est du devoir patriotique de tous les Congolais de chercher la vérité sur cet assassinat, de dénoncer toutes ces ignominies, de dresser les fronts longtemps courbés et de se battre pour sauver notre patrie.

Toutes informations sur l’assassinat de Laurent Désiré Kabila, sur le procès, sur l’origine de Joseph Kabila et sur les enfants soldats de l’AFDL gênent toujours la famille politique du président actuel, servent à la saisie, aux tortures, aux poursuites judiciaires secrètes. L’homme Congolais n’a pas droit à la liberté d’expression, à la liberté de penser, à la liberté d’écrire, à la liberté de critiquer à l’intérieur et à l’extérieur du Congo.

Le peuple Congolais attendra encore quarante ans pour savoir la vérité sur la mort de Laurent Désiré Kabila, vérité qui sera écrite encore par l’occident. Tout ceci aussi ne dépend que de nous et nous devons nous décider aujourd’hui.

Le 25 février 2007

Jean Baptiste MUMVUDI PIKHASSO

Jb.m-pikhas@laposte.net

France

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Thérèse Kabeya, Joseph Kabila aurait tué Laurent Kabila, journal canal futur (Future Channel News Group) – FCNG du 18/04/2005

Etienne KABILA TARATIBU, lettre ouverte au Peuple Congolais, Sun City – RSA, le 15/03/2002 et le 31/03/2003

Pompon MOMAT KABULO, les Seigneurs du Congo Démocratique, 07/07/2003 – www.fraternet.com

Afrique Express – RDCongo – ouverture du procès de l’assassinat de Laurent Désiré Kabila, N° 247 du 02/04/2002

Afrique Express – RDCongo – Assassinat de Laurent Désiré Kabila – Une ONG veut la révision du procès – N° 286 du 20 / 01 / 2004

6. Afrik.com, Qui a tué Kabila ? Assassinat de Kabila – vendredi 10 janvier 2003

Jean Baptiste MUMVUDI PIKHASSO
© Congoindépendant 2003-2014

 

 

 

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